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Accueil Opinion

En quoi le Franc CFA est-il un sujet délicat ? Analyse du FCFA et le problème d’une alternative

3 septembre 2022
Dans Opinion, Économie
Longueur: 13 mins de lecture
En quoi le Franc CFA est-il un sujet délicat ? Analyse du FCFA et le problème d’une Alternative
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En pleine crise et inflation mondiale, plus rien ne va. Alors que l’euro continue de perdre en valeur face au dollar, le Franc CFA qui y est lié, a lui aussi subi des dommages. Le Franc CFA est la monnaie commune utilisée en Afrique dans les zones CEMAC (XAF) et CEDEAO (XOF). Même si les billets de chaque sous-région sont distincts, les deux monnaies ont toujours été égales et interchangeables. Aujourd’hui, à cause des nombreux inconvénients liés à cette monnaie, plusieurs experts ont abordé à maintes reprises le sujet d’un changement de monnaie pour ces sous-régions. Seulement, il semble plus facile de le dire que de le faire.

Ensemble, les pays de la Zone FCFA ont une population combinée de 193.1 millions de personnes et une économie totale de 283 milliards de dollars. Ainsi, le Franc CFA est utilisé par environ 15 % de la population du continent mais, en revanche, ne représente qu’un peu plus que 5 % de la production économique totale de l’Afrique. Cette disparité entre la population et la production devrait donner une idée de la mesure dans laquelle les pays de la Zone Franc CFA sont en sous-performance économique constante.

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Au cœur de ce désir pas si soudain de changer de monnaie, se trouvent les multiples inconvénients du FCFA.

Le Franc CFA et son origine indissociable à l’histoire coloniale

Avant de s’attaquer aux problèmes liés à la monnaie, il est important de rappeler son origine et les circonstances de son adoption.

Le Franc CFA naît officiellement le 26 décembre 1945 par un décret du président du Gouvernement provisoire français, lorsqu’une France ruinée par six ans de guerre et d’occupation ratifie les accords de Bretton Woods et procède à sa première déclaration de parité au Fonds monétaire international (FMI). Sa parité était fixée alors à 1,7 Franc français (FRF). Cette parité est passée à 2 FRF en octobre 1948 puis à 0,02 FRF en 1960, date de création du nouveau Franc français et enfin à 0,01 FRF le 11 janvier 1994, à la suite de la dévaluation du Franc CFA.

Cette monnaie a ceci de particulier qu’elle a été créée sans convergence économique préalable entre les différents territoires coloniaux, puis entre les nations indépendantes qui l’ont en partage et que son fonctionnement défie les règles de transparence en vigueur dans les instances monétaires et financières internationales.

Kako Nubukpo, Politique monétaire et servitude volontaie, Politique africaine 2007/1 (N° 105)

Les pays de la Zone Franc muets au regard l’Euro et de l’UE

À sa création, le Franc CFA est arrimé au Franc français, la monnaie utilisée par la France, qui bascule officiellement à l’Euro le 1er janvier 2002 à un taux de change de 6.55 FRF pour 1 EUR. Subséquemment, le Franc CFA désormais arrimé à l’Euro s’échange donc à 655 FCFA pour 1 EUR. Éventuellement, cela constitue un état de choses qui est lui-même porteur d’autres aspects négatifs.

En effet, le Franc CFA étant indexé à l’euro, alors la politique monétaire employée par l’Union Européenne (UE) s’applique à l’économie de l’Afrique francophone. Par conséquent, elle l’affecte bien évidemment sur une multitude d’aspects. Cependant, nous constatons un fait étrange et ironique : L’Afrique francophone n’a aucune place au conseil économique de l’Euro et de ce fait, n’a aucune voix ni aucun pouvoir en termes de prises de décisions qui pourtant affecte son économie et par conséquent sa politique au quotidien. Pourtant, la France est présente et a son mot à dire durant les conseils économiques régionaux en Afrique.

La gravité de ce problème peut être constaté au quotidien, surtout avec le récent conflit entre la Russie et l’Ukraine. Les sanctions prises par l’Union Européenne contre la Russie pour un conflit qui ne concerne en aucun cas les pays africains ont des répercussions pharamineuses sur l’économie de la Zone Franc et l’inflation de la sous-région. Il en résulte que l’Afrique Francophone se retrouve économiquement affecté par un conflit et des sanctions auxquelles elle n’a jamais été mêlée de près ou de loin.

Par conséquent, L’Euro perd en valeur au quotidien et donc le Franc CFA, l’Europe entre dans une nouvelle crise économique aux lendemains incertains emportant donc les pays de la Zone Franc. Néanmoins, l’Union Européenne n’éprouve en aucun cas le besoin de s’expliquer auprès des populations d’Afrique francophone et de ses gouvernements malgré le fait que ses engagements politiques récents les handicapent de manière virulente.

Le Franc CFA en tant que moyen de pression politique et économique

Un autre problème causé par l’usage du FCFA en Afrique francophone est sans aucun doute, celui de la dette des pays où la monnaie est employée. Il est important de rappeler qu’il existe un procédé d’échange entre les pays d’Afrique francophone et le Trésor français. En effet, le Trésor français est chargé de fournir des garanties de convertibilité illimitée à la monnaie des pays du CFA, qui eux, acheminent 50% des réserves de leur monnaie vers le Trésor Français. Seulement, les pays du Franc CFA acheminent beaucoup plus d’argent vers la France contre cette garantie qu’ils ne reçoivent d’aide financière venant de ce dernier et de toute l’Union Européenne combinés. De plus, ces « aides » sont associées à des taux d’intérêts et à l’inflation qui ne cesse de prendre l’ampleur. Par ailleurs, en cas de perte de la valeur de l’Euro sur le Dollars, la dette étrangère du Franc CFA s’agrandit proportionnellement face au Dollars ainsi que toutes les monnaies qui y sont indexées. Tout cela alourdit perpétuellement la valeur d’une dette qui n’avait pas forcément lieu d’être.

Outre ces restrictions économiques, il y a tout l’aspect politique dont il faut parler. Pour les pays francophones, utiliser le FCFA les met à la disposition d’un pouvoir étranger qui pourrait s’en servir comme moyen de pression politique. Le cas du Mali est un très bel exemple de cela : nous avons là des circonstances et décisions purement diplomatiques et sécuritaires qui ont été réprimandées par un jeu politique et des actions d’ordre économique. Ces réprimandes ont poussé à la déstabilisation du marché internes du Mali tout en paralysant partiellement ses échanges externes, handicapant ainsi le quotidien de ses occupants par la même occasion.

Les problèmes liés au taux de change fixe du Franc CFA

Par ailleurs, un autre inconvénient lié à l’utilisation du FCFA est l’incapacité d’établir une réelle politique monétaire et fiscale. Parce que le Franc CFA est une monnaie au taux de change fixe dépourvu d’ajustabilité plutôt qu’une monnaie au taux de change flottant ou hybride, les gouvernements de la Zone Franc ne peuvent pas établir de réelles politiques monétaires ou fiscales à leur guise.

Une nation utilisant une monnaie caractérisée par un taux de change fixe sans aucune marge de fluctuation, dont le gouvernement décide de diminuer les impôts et d’injecter plus de fonds sur le marché afin de le dynamiser, court le risque perpétuel de se retrouver en déficit commercial. En d’autres termes, les importations sont supérieures aux exportations. On dit alors que la balance commerciale est déficitaire. Concrètement le pays achète plus à l’étranger qu’il ne vend. Il s’agit là malheureusement du quotidien des pays de la Zone FCFA.

En situation de déficit commercial pour les nations munies d’une monnaie indépendante et subséquemment d’une monnaie régie par un taux de change flottant ou hybride, on observera un rééquilibrage automatique caractérisé par une augmentation de la demande de la monnaie étrangère plutôt que celle de la monnaie nationale, augmentant les prix en monnaies étrangères face à ceux de la monnaie locale. Cela rend par conséquent le prix des biens étrangers moins attrayant pour le marché national et promeut le commerce local ce qui résulte en la réduction du déficit commercial. En cas de taux de change fixe comme avec le FCFA, ce rééquilibrage automatique n’a pas lieu ce qui ampute le commerce local et son développement au profit des importations.

En outre, lorsqu’un gouvernement persiste à maintenir un taux de change fixe alors qu’il est en déficit commercial il est forcé à utiliser des mesures déflationnistes telles que l’augmentation de la fiscalité et la réduction de la disponibilité de l’argent. On observe donc une limitation spontanée de la spéculation par l’épuisement des réserves de change, qui servent aux banques centrales à maintenir le cours de leur monnaie. D’autre part, ces mesures ne sont pas sans danger et finissent par conduire inévitablement :

  • au pessimisme économique
  • à la réduction des échanges
  • à l’absence de dynamisme et d’opportunité sur le marché
  • au chômage.

De plus, la parité fixe entre le FCFA et l’Euro, permet aux entreprises européennes de toucher leurs bénéfices en euro, soit leur monnaie, et ceci, sans payer de taxe sur le taux de change auprès des banques africaines dans la zone Franc et en FCFA. Ces mêmes entreprises françaises génèrent plus d’argent dans les pays de la Zone FCFA que la France n’en donne en aide financière, amputant ainsi les nations d’Afrique Francophone en les dépouillant de leur devise sans équivoque.

À la suite des différents éléments cités, il est évident que le taux de change fixe entre l’Euro et le FCFA ne mène les pays de la Zone Franc qu’à une conclusion, une perpétuelle rupture de devise. Étonnamment, cela ne constitue pas la partie aberrante. Effectivement, dû à la garantie de convertibilité illimitée accordée par la France aux pays de la Zone Franc, la France s’engage à apporter les sommes nécessaires en euros dans la mesure où les pays de la Zone Franc seraient dans l’incapacité d’assurer certaines charges telles que le paiement de leurs importations. Cet apport est simplement une dette causée par un système monétaire quelque peu problématique mais voulue, alourdissant la dépendance en une économie étrangère mais présentée comme une aide financière au grand public.

La difficulté avec l’abandon du Franc CFA

Un État membre peut certainement sortir de cet accord régional. Mais cela entraînerait des pertes telles que la fermeture d’un marché sous-régional qui, malgré ses failles, était ouvert et permettait déjà aux pays de la communauté d’engranger quelques succès économiques bilatéraux via les multiples échanges procédés entre eux, voisins à la monnaie commune.

Qui plus est, le système monétaire du Franc CFA assure un faible taux d’inflation. Entre le début des années 1950 et le milieu des années 1980, les pays du Franc CFA ont connu une croissance du PIB réel plus forte et une inflation plus faible que les autres pays d’Afrique subsaharienne. Par exemple, au cours des 50 dernières années, la Côte d’Ivoire a connu un taux d’inflation moyen de 6 %, un taux bien inférieur à celui de son voisin, le Ghana, qui affichait une inflation moyenne de 29 %.

De plus, le Franc CFA minimise les instabilités de l’activité économique réelle. La stabilité du marché peut facilement constituer une drogue pour les économies inexpérimentées. Néanmoins, une activité économique stable mais peu dynamique limite non seulement la portée de l’activité mais aussi les opportunités d’affaires sans pour autant sécuriser les revenus necessaires. La flexibilité du marché est aussi importante que sa stabilité et il s’agit là d’un aspect qui n’est pas mis en valeur par le système monétaire du FCFA. En d’autres termes, la parité non ajustable de la monnaie constitue donc une solution facile au problème de stabilité, mais avec très peu d’avantage et de vision sur le long terme pour l’économie en général.

Il est aisé pour des personnes qui ne se sont jamais questionnés sur le cours de la monnaie, de penser qu’il suffit d’un claquement de doigt pour parvenir à la remplacer tout en maintenant sa valeur sur le marché. Bien au contraire, afin d’assurer une transition monétaire de qualité, bon nombre de démarches doivent être entreprises au préalable. De plus, il va falloir que les efforts soient communs et équitables pour les différentes populations et gouvernement concernés car le processus sera évidemment pénible pour tous.

Quelle solution pour l’Afrique francophone ?

Afin de sortir complètement du joug et d’être indépendant autant sur la forme que sur le fond, l’hypothèse d’un changement de monnaie et donc du remplacement du FCFA a fréquemment été remis sur la table.

L’idée d’une monnaie avec un taux de change hybride est la plus populaire car elle connaît le plus de succès économique dans le monde. L’état actuel des marchés de changes mondiaux ne permet pas à une nation d’appliquer un système rigide des taux de change fixes tel que le FCFA et de connaître un réel succès économique proportionnel à son potentiel. D’autre part, les monnaies au taux de change flottant ne sont pas sans danger car ils exposent un pays à la volatilité des taux de change et donc à l’inflation et l’instabilité du marché. Le système de taux de change hybride combine les caractéristiques des systèmes de taux de change fixe et flottant. Il permet la fluctuation des taux de change sans exposer complètement la monnaie à la flexibilité d’un flottement libre. Il tire donc le meilleur des deux mondes en contraignant leurs défauts respectifs.

En outre, il est important de garder à l’esprit que le FCFA étant une monnaie régionale incluant deux communautés de 14 pays au total. Ce rappel est important car il disqualifie automatiquement toute alternative nationale que certains États pourraient proposer indépendamment des autres membres de la communauté économique. Ces alternatives ne disposent ni de la portée mais aussi de la taille du marché que possède le Franc CFA et constitue un recul instable et beaucoup moins visionnaire que la monnaie problématique actuelle.

Par ailleurs, le FCFA n’étant pas une monnaie nationale, la question de sa révision ou de son remplacement ne saurait être un élément constitutif majeur du programme d’action d’un candidat aux élections présidentielles bien que cela soit déjà arrivé par le passé. En effet, durant sa campagne électorale en 1993, le Président Abdou Diouf avait promis aux populations sénégalaises qu’une fois élu, le Franc CFA ne serait pas dévalué. Un an plus tard la dévaluation a tout de même eu lieu. Les promesses sur le Franc CFA ne peuvent donc être tenues à la légère.

La réalité est que toute décision majeure relative au Franc CFA se doit de faire l’objet d’une concertation entre les États membres de la communauté économique et malheureusement sous le regard et parfois la supervision des puissances étrangères. Il en ressort que peu importe les solutions qui seront établis afin de résoudre les problèmes relatifs au Franc CFA, leur crédibilité, leur exécution et leur stabilité ne sera garantie que par la cohésion et la coopération de tous les états membres de la communauté économique attitrée.

Quel avenir pour le FCFA ?

Le remplacement du FCFA tel que souhaité par l’Afrique francophone, ne passera que par une transition qui elle-même, se fera au fur et à mesure que les pays concernés suivront les bonnes démarches au préalable.

Pour commencer, il faudrait déjà entamer la reformation des banques centrales concernées, les lois qui les régissent, leur mode de fonctionnement et les réadapter aux réalités et besoins des populations sur le long terme. Tout ceci, sans pour autant oublier de porter et d’orienter la réformation sur un écosystème économique et un climat des affaires plus dynamiques et stable. Ensuite, entamer le processus de récupération des réserves africaines auprès de la France. Depuis Janvier 2020, la BCEAO a récupéré ses réserves auprès du Trésor français, la BEAC quant à elle n’a pas encore obtenue de conclusion fructueuse à cet égard. D’autres prérequis pourraient être la réduction du déficit fiscal, un meilleur rapport entre la masse salariale et les recettes fiscales, un meilleur taux d’investissement public, une meilleure transparence dans la gestion des comptes d’opérations, etc…

Tout ceci montre à quel point la question du FCFA est délicate. Il ne s’agit pas uniquement de dire « il faut quitter le FCFA », il y a également les questions du « comment« , du « que faire pendant la transition«  et surtout de « l’après transition ». Seul un processus entamé intelligemment, permettra à l’Afrique francophone d’être réellement libre et d’avoir du pouvoir sur son économie, sa politique et sa société. En attendant que les États membres de la CEMAC et de la CEDEAO ne se mettent d’accord pour changer l’histoire de leur pays, le FCFA continue d’avoir de beaux jours devant lui.

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Tags: Afrique FrancophoneBCEAOBEACDeviseEuroFCFA

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